Reconnue mondialement pour la qualité de ses produits, la région viticole bordelaise conçoit plusieurs dizaines de vins chaque année. Faire un choix parmi toutes ces différentes variétés n’est pas toujours très aisé. Voici quelques astuces pour vous faciliter la tâche.
Le cépage
Les cépages (variétés de vigne cultivée) sont un paramètre primordial d’appréciation, car ils font le caractère unique des arômes des vins bordelais. Il en existe six principaux dans le cas des vins de Bordeaux : trois rouges et trois blancs, tous réputés pour leurs saveurs. Parmi les cépages rouges, l’on considèrera le Merlot, le Cabernet Sauvignon et le Cabernet Franc. Du côté des blancs, les plus estimés sont le Sémillon, le Sauvignon blanc et la Muscadelle.
Les mentions obligatoires de l’étiquette
L’étiquette d’un bordelais constitue une sorte de fiche de renseignement comportant des mentions hautement règlementées. La plus notable est le terme « Appellation d’Origine Contrôlée » (AOC) qui prouve que le vin a été produit dans des conditions rigoureuses inscrites dans un cahier des charges.
Viennent ensuite d’autres annotations telles que le Titre Alcoométrique Volumique Acquis (TAVA), le lieu de la mise en bouteille, etc. Les AOC les plus populaires du Bordelais sont notamment le Saint-Émilion, le Pomerol, le Haut-Médoc et le Pauillac. Un bon nombre d’illustres crus sont mis en bouteille dans des Châteaux chargés d’une Histoire riche que vous pourriez retrouver sur la plateforme https://chateaularroque.fr, à défaut de vous y rendre.
Le millésime
Faisant partie des mentions facultatives règlementées de l’étiquette du vin, le millésime n’est pas pour autant de moindre importance. Il représente l’année de récolte des raisins entrés dans la composition du vin et de son élaboration.
Ainsi, le millésime permet d’évaluer la qualité du vin par rapport à son âge (car plus il est vieux, plus exceptionnel il est). Il permet également d’identifier le caractère de l’année de mise en bouteille (année exceptionnelle, grande, bonne, moyenne ou médiocre). À titre d’exemple, dans le domaine des pinards bordelais l’année 2016 est qualifiée d’exceptionnelle, tandis que 2013 est considérée comme moyenne.